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Formation en énergies renouvelables

SUNLORAA Propose des formations suivantes : Efficacité énergétique Photovoltaïque Solaire thermique Qualité des réseaux électriques Pile a combustible Energie éolienne ...

Objectif2020 : 2000 MW

Le Maroc lance le début 2010 (profitant de son désert), avec un investissement de 2 milliards d’Euros, dans la construction d'une des plus grandes centrales solaires à concentration du monde à Ouarzazate

Crise énergétique mondiale

Plus de 55 % - la part de notre approvisionnement en énergie soumise à un grave danger Nos ressources en pétrole seront épuisées d’ici trente à quarante ans.

900 millions de dollars, 1 Mile haute tour solaire elles prévues en Afrique

Un grand tour de l'énergie solaire a été proposé de renforcer le réseau d'électricité en Namibie. A un mile de haut et 1000 mètres de large - plus grand que deux terrains de soccer dos-à-dos - la tour pourrait fournir de l'électricité pour l'ensemble de la capitale namibienne Windhoek.

Marquiss Développe éolienne pour les toits plats commerciaux

Marquiss Wind Power a annoncé que sa technologie d'éolienne a satisfait aux exigences de deux services publics d'électricité en Californie du Nord pour se connecter au réseau électrique.

jeudi 29 mai 2014

Formation

   SUNLORAA   Propose des formations suivantes : 
  • Efficacité énergétique
  • Photovoltaïque
  • Solaire thermique
  • Qualité des réseaux électriques
  • Pile a combustible
  • Energie éolienne 

lundi 5 mai 2014

Production d'eau chaude sanitaire par énergie solaire

PRODUCTION D’EAU CHAUDE SANITAIRE PAR ÉNERGIE SOLAIRE / Guide de conception des installations collectives - SOTH0801


TYPE OUVRAGE : Guide
AUTEURS : Électricité De France - EDF, Agence Environnement Maîtrise Énergie - ADEME, Gaz De France - GDF
DATE ÉDITION : 1/05/08
PAGINATION : 80 p.
LANGUE : Français
PRIX : 35 €
ISBN :978-2-86817-951-7
RÉSUMÉ :
Ce guide accompagné d’un CD-ROM propose aux bureaux d’études techniques une démarche simple et concrète pour concevoir, dimensionner, mettre en oeuvre et exploiter les installations collectives de production d’eau chaude sanitaire par l’énergie solaire. Cette démarche est basée sur l’expérience et les bonnes pratiques. Il est particulièrement destiné aux ingénieurs-conseils, aux bureaux d’études, aux services techniques des maîtres d’ouvrage, aux installateurs, aux exploitants et aux formateurs spécialisés. Il décrit les 3 étapes nécessaires à l’élaboration d’un projet concret d’eau chaude solaire collective, à savoir : l’analyse d’opportunité, l’étude de faisabilité et l’étude projet permettant de bâtir les documents nécessaires à la consultation d’entreprise.Pour chaque étape et pour chaque fonction, sous ensemble ou composant d’installation, les points clés sont définis sous forme de préconisations ou d’exigences, afin de rendre ce document le plus opérationnel possible d’un point de vue pratique. Ce guide est un document collégial de référence, appuyé sur les connaissances les plus récentes de nos experts nationaux. 


Efficacité énergétique

Efficacité énergétique de la climatisation des bâtiments en région tropicale



Énergie éolienne : (Principes - Études de cas)

L'énergie éolienne est l'énergie tirée du vent au moyen d'un dispositif aérogénérateur.



Elle conserve l'énergie mécanique, se transforme en force motrice et permet la production d'énergie électrique.

L'objectif de cet ouvrage est de comprendre les développements et les problématiques actuels et futurs de l'éolien, notamment avec les implantions en offshore. Il aborde de manière détaillée :


  •     l'énergie du vent, le potentiel et la conversion
  •     les différents sous-systèmes (la pale, le rotor, les équipements de la génération électrique)
  •     les réalisations éoliennes francaises ;
  •     le montage d'un projet pour un parc éolien.

samedi 3 mai 2014

Gestion des déchets

Gestion des déchets


Editeur : DUNOD

Collection : Aide-mémoire de l'ingénieur


Résumé:


2ème édition. 
Synthèse technique et réglementaire sur le traitement des déchets. Sont successivement abordés : 
- les différents types de déchets ; 
- les modes de collecte et de gestion ; 
- les filières de traitement et leurs perspectives ; 
- les acteurs du secteur et les principales données économiques et financières.

dimanche 27 avril 2014

Énergie solaire : Recharger un téléphone avec un film appliqué sur l’écran.


L’énergie solaire devrait s’inviter dans les mobiles puisque vous pourrez les recharger avec un film spécifique développé par Sunpartner.

Des écrans solaires devraient équipé des mobiles d’ici la fin de l’année. C’est la société Sunpartner qui est à l’origine de ce projet. Un partenariat a été effectué avec TCL Communication. Le film déposé sur l’écran est une surface photovoltaïque transparente. Cette technologie baptisée Wysips Crystal peut être positionnée en dessous de l’écran. Le concept est assez simple puisque le film a la capacité de capter l’énergie solaire grâce à un réseau de microlentilles qui sont assemblées sur une couche mince photovoltaïque. La batterie peut ensuite être rechargée via ce procédé.

Bientôt la fin du chargeur classique

Pour l’instant, la société Sunpartner a obtenu une transparence de 82% et espère améliorer cette performance en atteignant 90%. Le film a une épaisseur de 500 µm  et devrait atteindre prochainement 300 µm . Une multitude d’écrans commercialisés sur le marché pourraient bénéficier de cette technologie comme les LCD ou encore les OLED. Il pourrait donc équiper de nombreux Smartphones dans les prochains mois, le marché serait évalué à plusieurs millions d’appareils. Avec cette technologie, nous n’aurons donc plus besoin d’avoir recours constamment à un chargeur se branchant sur une prise secteur par exemple.

Une heure d’exposition, 10 minutes d’appel

Sunpartner, qui est une start-up française basée à Aix en Provence, doit également signer avec d’autres sociétés du secteur de la téléphonie mobile. Cette technologie est prometteuse puisqu’une heure d’exposition permet de téléphoner pendant 10 minutes et d’écouter de la musique pendant une vingtaine de minutes. Le film solaire a vu le jour après le dépôt de 33 brevets, la société a également demandé une levée de fonds de 9 millions d’euros. Il faut noter que cette nouvelle technologie ne modifie pas l’aspect du Smartphone et le composant doit être installé lors de la fabrication du mobile.

Source: BEGEEK.FR

samedi 26 avril 2014

Les capteurs stockeurs

Les capteurs stockeurs, comme leur nom l'indique, sont des ensembles qui cumulent les fonctions de captage et de stockage de l'énergie solaire. Le mur "Trombe" est une application connue de ce principe.
La fonction de stockage permet une autonomie de l'ordre de la journée et se fait dans des matériaux ayant une forte capacité thermique. Ces capteurs, souvent artisanaux, sont relativement peu répandus et servent principalement pour la production d'eau chaude sanitaire ou le chauffage des maisons (mur Trombe). On trouve également certains capteurs qui fonctionnent comme un plancher chauffant "à l'envers" : un dalle en béton capte et accumule l'énergie solaire et la restitue à un fluide caloporteur circulant dans des tubes noyés dans le béton.

Source: Ines

Les capteurs solaires "moquette"

Ce capteur est constitué d'un caoutchouc souple très résistant : l'Ethylène Propylène Diène Monomère (EPDM). Du fait de l'absence de vitrage, et donc des pertes de transmission afférentes, il possède un très bon rendement pour les températures proches de la température de l'air ambiant. Il ne permet pas de produire d'eau chaude sanitaire.


Ses principaux avantages sont sa facilité de mise en œuvre et son coût d'environ 100 €/m². Le dimensionnement usuel se situe entre 1/3 et 2/3 de la surface du bassin. Il peut être utilisé aussi bien pour des piscines privées que pour des piscines publiques.

  Source : Ines

Dimensionnement d’un système photovoltaïque .

Dimensionnement d’un système photovoltaïque 






jeudi 24 avril 2014

Prix de revient du kWh photovoltaïque

 Prix de revient du kWh photovoltaïque



Le prix de revient du kWh dépend en première approximation des données suivantes :
- L'investissement initial par watt crête (I en €/Wc)
- Energie annuelle produite par un watt crêtre (fonction de l'irradiation annuelle dans le plan des modules et du rendement l'installation et/ou de l'énergie réellement consommée) (Nh en Wh/ Wc ou heure)
- De la maintenance (Kem = maintenance annuelle / investissement iniitial)
- Du coût de l'argent (taux d'actualisation t) et de la durée de vie de l'installation PV (n)
Ces 2 derniers points permettent de calculer le facteur d'actualisation, prenons 6% pour le taux d'actualisation "t"et 20 ans pour la durée de vie "n" en année. Le facteur d'actualisation Ka se calcule comme suit :
La formule donnant le prix de revient du kWh en € en fonction des différentes données est la suivante :

(Formule de la méthode TEC de Bernard Chabot /ADEME)
Avec ces moyens de calcul du prix de revient de l'énergie électrique, comparons l'électricité d'origine photovoltaïque et celle d'origine nucléaire.
Le tableau ci-dessus montre clairement ce qui pénalise l'énergie photovoltaïque. D'abord, un nombre d'heures de fonctionnement par an à puissance nominale de 1 000 pour le PV contre 7 000 pour les centrales nucléaires, pénalise d'un facteur 7 le photovoltaïque. Impossible d'y remédier en France où l'ensoleillement est moyen (1 000 heures) et même les pays disposants d'un très bon ensoleillement
 (2 000 à 2500 heures) ne peuvent rivaliser. Autre point, l'investissement initial encore très élevé.
Cas des systèmes photovoltaïques autonomes :
Comme pour les systèmes connectés au réseau, le prix de revient du kWh dépend entre autre de :
- l'investissement initial auquel il faut ajouter le coût des batteries et l'éloignement
- la production en énergie (fonction de l'irradiation annuelle dans le plan des modules et du rendement de l'installation et/ou de l'énergie réellement consommée).
- la maintenance
- le coût de l'argent (taux d'actualisation)
- la durée de vie de l'installation PV
Ces 2 derniers points permettent de calculer le coefficient d'actualisation
Pour un système connecté au réseau de 1kWc avec des modules PV de rendement 10% (surface = 10 m²) et 20 kWh de batterie (pour 10 jour d'autonomie adapté à cette puissance), cela fait un investissement de 8 000 € en 2003 (8 €/Wc) et un prix de revient de 2,8 € / kWh .
Note : un système PV pour un site isolé est dimensionné pour les conditions les plus défavorables, c'est-à-dire décembre (1 kWh/j en moyenne en France). Le reste de l'année, l'énergie produite en plus n'est pas utilisée. L'énergie réellement consommée pour un système autonome est donc moindre que celle produite par un système connecté au réseau.
Le problème du coût est peut être moins important pour les sites isolés dans les pays développés où la connexion au réseau reste onéreuse du fait de l'éloignement et où l'énergie électrique produite peut être utilisé de façon rationnelle en sensibilisant au gaspillage et en utilisant des appareils électriques économes en énergie mais plus chers à l'achat. Les systèmes photovoltaïques, bien que chers, sont plus abordables pour un marché solvable, le cas échéant, le FACE existe.
Par contre, dans les pays en voie de développement, ou le réseau est ou peut être inexistant, l'électrification par des systèmes photovoltaïques reste onéreuse. 

Source: Ines

Marques des capteurs solaires


vendredi 18 avril 2014

Logiciel pour tracer le masque

Les masques solaires


         Les masques solaires ont pour effet d'atténuer la récupération du rayonnement solaire. On distingue les masques solaires dus au bâtiment de ceux dus à l'environnement.




Lien de logiciel pour tracer le masque :

Mesure du rayonnement solaire

Différents appareils permettent de mesurer les puissances directes, diffuses, réfléchies ou globales, appeléesirradiances (W/m²).


L'héliographe de Campbell-Stokes, comportant une boule de verre et fonctionnant selon le principe de la loupe, permet de mesurer la durée d'insolation, c'est-à-dire la durée pendant laquelle le rayonnement solaire direct a une puissance suffisante (en pratique plus de 120 W/m²) pour brûler ou décolorer une bande de papier changée chaque jour. La mesure de la longueur des parties brûlées permet de calculer la durée d'insolation. Pour en déduirel'irradiation, il faut utiliser des corrélations.
Ces instruments "statiques" sont remplacés par des instruments "dynamiques" où une fibre optique émet régulièrement un signal qui engendre une impulsion dès que l'éclairement reçu par le capteur dépasse 120 watts par mètre carré.

Les pyranomètres délivrent une tension directement proportionnelle à l'irradiation. Cette
tension provient d'une thermopile dont la partie supérieure s'échauffe par exposition à l'irradiation solaire alors que la partie inférieure protégée de cette irradiation sert de référence. Ce sont des appareils coûteux : il y a donc peu de stations météorologiques qui en utilisent en France.
Le pyranomètre à rayonnement diffus est identique au précédent, mais comporte une "bande métallique" qui masque le soleil et supprime la composante directe du rayonnement incident

Le pyrhéliomètre mesure la composante directe du rayonnement solaire. Il a besoin d'un "suiveur solaire" et d'un collimateur pour maintenir en permanence le disque solaire focalisé et masquer le reste de la voûte céleste. Le capteur est une pile thermoélectrique.








Source : Institue national de l'energie solaire

mercredi 16 avril 2014

Différences entre énergie solaire thermique et énergie solaire photovoltaïque

Différences entre énergie solaire thermique et énergie solaire photovoltaïque

   Il y a deux façons distinctes d’exploiter l’énergie du soleil : en produisant de  modules photovoltaïquessur un même site.
 la chaleur ou en produisant de l’électricité. Ce sont deux technologies totalement différentes, mais qui utilisent la même source d’énergie. Bien qu’elles fassent appel à des installations différentes, ces technologies peuvent se compléter. Il est donc possible d’installer des capteurs solaires thermiques et des
 L’effet de serre retient une partie des rayons du soleil reflétés par la Terre ce qui augmente la chaleur à la surface de la planète.

Le solaire thermique

   Lorsque les rayons du soleil arrivent sur Terre, une partie d’entre eux se transforme en chaleur. Ce phénomène est naturel et nous en avons des exemples partout autour de nous : les voitures sont brûlantes en été, comme tout ce qui reste exposé au soleil à cette époque de l’année. C’est ce qui est à l’origine de la vie sur Terre et du climat tempéré qui y règne, grâce à l’atmosphère et à l’effet de serre qu’il produit. Mais c’est également ce qui pourrait causer notre perte si cela s’aggravait : les « gaz à effet de serre », le CO2 en particulier, s’accumulent dans l’atmosphère et piègent de plus en plus la lumière du soleil. Les rayons piégés se transforment en chaleur ce qui cause le réchauffement planétaire.                                                                                                   
 Le capteur solaire piège les rayons du soleil et les convertit en chaleur. Cette chaleur est ensuite conduite vers le ballon d’eau chaude.

   Les capteurs solaires fonctionnent sur le même principe : ils sont composés de deux couches de matériaux à travers lesquelles circule un liquide. L’ensemble forme alors « une boîte » où la chaleur du rayonnement solaire s’accumule. Le liquide qui circule à l’intérieur se réchauffe et peut ensuite se diriger vers le ballon d’eau chaude. Une fois dans le ballon, la chaleur se transmet au final à l’eau que nous utilisons.

Le solaire photovoltaïque

   Les cellules photovoltaïques permettent de transformer la lumière en électricité. La lumière est en réalité composée de minuscules particules énergétiques appelées « photons ». La matière présente dans les cellules, qui est un semi-conducteur, a la capacité de capter ces photons et de les transformer en électricité. Chaque module est donc constitué de plusieurs cellules photovoltaïques agissant chacune à la façon d’une pile dès qu’elles sont exposées au soleil.
Le module photovoltaïque convertit directement la lumière du soleil en électricité

   Pour les particuliers, les installations photovoltaïques peuvent être autonomes (on parle alors de « site isolé » ou d’installation « en îlot ») ou raccordées au réseau électrique. Dans le premier cas, l’énergie produite est d’abord stockée dans des batteries stationnaires pour être consommée sur place. À l’inverse, les installations raccordées injectent directement leur production dans le réseau sans utiliser de stockage.

Source : AREBOR Énergie

lundi 14 avril 2014

Avenir batterie au lithium.


            La croissance démographique, la pollution et la diminution des ressources naturelles se tarissent a nécessité la création de solutions innovantes dans le domaine des technologies propres, ce qui serait plus rationnel, plus sûr et plus efficace. Cependant, les coûts élevés et les limites techniques dans le domaine du stockage de l'énergie entravent la réalisation de la parité entre les fournisseurs de sources d'énergie renouvelables et conventionnelles en termes de l'utilisation et de la valeur.

Scientifiques Russes peuvent améliorer l'efficacité des éoliennes.



Dans l'Université fédérale d'Extrême-Orient au point une méthode qui permettra d'accroître l'efficacité des éoliennes.Les scientifiques ont conçu un modèle Palo éolienne modifié avec un axe vertical de rotation du rotor. Selon des calculs préliminaires, grâce à cette disposition, la puissance de l'éolienne rotor moderne seront augmentés d'au moins dix fois.

vendredi 11 avril 2014

Gaz de schiste : Quelles alternatives à la fracturation hydraulique ?

Gaz de schiste : Quelles alternatives à la fracturation hydraulique ?


Roland Vially est géologue, chef de projet Évaluation des ressources et des réserves au sein de l’Institut français du pétrole et énergies nouvelles (IFPEN). Il détaille avec nous l’état des recherches sur les différents modes d’extraction des gaz non conventionnels. 


       Si la fracturation hydraulique garde la cote auprès des industriels, d’autres techniques sont à l’étude. Déjà utilisés ou encore au stade expérimental, ces modes d’extraction seront peut-être ceux de demain : « Le progrès technologique amènera des changements mais il est impossible de se projeter. Il y a 10 ans tout le monde pensait que les USA achèteraient du gaz au Qatar pour le traiter sur place. Et finalement, il y a le gaz de schiste. Alors difficile de prédire quelle technique fonctionnera le mieux », annonce Roland Vially. 
Fracturation au CO2 :
« Il s’agit d’utiliser du CO2 dans sa forme super critique, c’est-à-dire entre le gaz et le liquide, pour réaliser les fractures permettant de récupérer les hydrocarbures. L’avantage de cette technique est de ne pas utiliser d’eau, argument important quand on connaît la quantité utilisée dans la fracturation hydraulique. Se pose par contre le problème d’approvisionnement en CO2, qui reste compliqué et cher. Enfin, cette technique nécessite l’utilisation de sable pour laisser les fractures ouvertes et donc de produits chimiques susceptibles de polluer les sols et les nappes phréatiques. »
Fracturation pneumatique ou à air comprimé :    
« L’idée est de désintégrer la roche mère grâce à de l’air comprimé. C’est une technique assez efficace mais qui nécessite une quantité incroyable d’air pour pouvoir l’amener à la bonne pression. Il y a donc là un important problème logistique à régler. Encore une fois, le problème principal reste l’utilisation de sable et donc de produits chimiques. »
Fracturation au GPL :
« Cette technique est utilisée au Canada depuis plusieurs décennies, et est en constante amélioration. Amené à la bonne profondeur, le propane va permettre de mener une fracturation efficace. Le principal avantage est qu’ensuite le propane sous sa forme gazeuse est facilement récupérable et pourra donc être réutilisé. C’est toujours plus économique et il n’y pas besoin d’eau. Il y a néanmoins plusieurs inconvénients. Le propane est cher et se pose le problème de son acheminement. Enfin, il y aura de grandes quantités à stocker, ce qui ne va pas être forcément accepté par la population. »
Fracturation par arcs électriques :
« Ce procédé n’a encore été testé qu’en laboratoire. Il s’agit de créer la fracture en envoyant des ondes de choc créés par des arcs électriques. Pour l’instant, les fissures ne font que quelques centimètres. On est donc encore loin du compte. Cette technique a l’avantage de ne nécessiter ni eau, ni sable, ni produits chimiques. Mais un autre problème se pose. Pour ces arcs électriques, il faut de l’énergie et d’où va-t-elle provenir ? »
Fracturation par chocs thermiques :
« En jouant sur les écarts de températures, en injectant de l’eau froide à grande profondeur, on peut créer des fissures. Aujourd’hui, celles-ci sont encore trop petites pour permettre une exploitation. En outre, cette technique demande d’importantes quantités d’eau, ce qui est déjà l’un des principaux reproches faits à la technique de fracturation hydraulique. »
Source: http://www.heracleantech.com/technologies.html

Production biogaz

Production biogaz 

PRODUCTION BIOGAZ
La production de biogaz par digestion anaérobie


Technologies HERA pour la production de biogaz par digestion anaérobie
La société SCHWARTING BIOSYSTEM, filiale à 100% de HERA, possède l’expertise et de nombreuses références d’installation de production de biogaz par digestion anaérobie.
La société est en mesure de réaliser la constructions d’installations pour la mono et co-digestion de déchets organiques tel que :
  • - les déchets alimentaires (emballés et non-emballés, périmés…)
  • - les drêches de production
  • - les sous-produits animaux à stérilisation obligatoire (cat II ou III)
  • - les lisiers, fumiers …
  • - les matières premières renouvelables
  • - les graisses et contenu de séparateurs de graisse
Pour répondre aux besoins spécifiques inhérents aux déchets, la société a développé 2 technologies
1. Digestion anaérobie avec digesteur infiniment mélangé (déchets organiques classiques) – plus de 10 installations en europe.
Schéma de l’installation de fermentation pour le traitement des déchets organiques

2. Digestion anaérobie haut rendement, avec réacteur équipé de niveaux en tôle perforée – (boues de station d’épuration) - plus de 10 installations en Europe
Schéma de l’installation complète avec digesteur haute performance


Avantages de la digestion des boues de station d’épuration municipales (STEP)
  • - Stabilisation de la boue en raison du processus biologique
  • - Économie de l’ajout de chaux
  • - Réduction des odeurs
  • - Réduction des résidus de la dégradation des matières organiques (env.35..50 %)
  • - Réduction des résidus en raison des caractéristiques de déshydratation
  • - Réduction de la consommation de floculant
  • - Production de biogaz pour l’utilisation énergétique
  • - Augmentation de l’indépendance entre le prix de l’énergie et les possibilités d’élimination
Valorisation énergétique, production du biogaz
Tableau comparatif des systèmes de digestion anaérobie.

Source: http://www.heracleantech.com/technologies.html

Capteur solaire hybride

Description:

Rapport de performance d'un capteur solaire hybride dit PVT comportant à la fois des cellules solaire photovoltaïque produisant de l'électricité et des collecteurs thermiques pour l'eau chaude

Essais et document réalisés par l'Institut pour la Recherche en Energie Solaire GmbH (Allemagne). Document en anglais.





    

mercredi 9 avril 2014

Climatisation solaire

L'utilisation de climatiseur solaire permet aujourd'hui d'obtenir le confort chez soi, en toute simplicité et sans consommer d'énergie fossile, ni produire de gaz à effet de serre.
Dans ces systèmes de climatisation, les rayons du soleil sont la source d’énergie principale.
Différentes techniques sont utilisées selon les appareils.
On distingue les climatiseurs par la manière de récupérer l’énergie solaire ou par le système de refroidissement employé pour l'appareil. 




Les  4 types de climatiseurs solaires

  • Climatiseurs solaires fonctionnant grâce au système DEC (Dessicant Evaporative Cooling), ici on aspire l’air pour le déshydrater dans un échangeur à roue composé de déshydratant, ensuite de l'eau est pulvérisée dans l'air, qui s’évapore, en absorbant la chaleur contenue dans l'air .On peut ainsi refroidir l’air jusqu’à 16°C, système non compatible avec des climats trop humides . 
  • Climatiseurs à compression standard, qui utilisent, eux, l'énergie électrique produite par des panneaux photovoltaïques, procédé qui demande  une grande surface de capteurs.
  • Climatiseurs à compression, qui consomment de l’énergie solaire thermique transformée en énergie mécanique.
  • Machine dite à "absorption", qui utilise l'énergie thermique solaire , le principe de l'absorption est un procédé chimique. On utilise deux composants, eau et bromure de lithium, la machine à absorption sépare le bromure de lithium de la solution d’eau, en amenant le mélange à ébullition. Puis, en recombinant les deux éléments de la solution, du froid est produit.

La diminution des gaz à effet de serre

Un des grands intérêts du climatiseur solaire est la réduction d'émission de ces gaz. Les climatiseurs solaires rejettent une quantité très réduite de gaz à effet de serre. Très peu d'énergie électrique est consommée puisque l'essentiel de l'énergie vient du soleil. Cela protège l'environnement. Par ailleurs comme une majorité de climatiseurs fonctionnent suivant le principe de l'absorption, le fluide frigorigène étant composé en majorité d’eau et de bromure de lithium,il n'est donc pas dangereux pour l'environnement, même s'il se produisait une fuite dans le système.

Une substantielle économie

La climatisation solaire utilise une énergie gratuite : les rayons du soleil.
Elle permet donc un grand confort dans la maison, sans consommer une grande quantité d'énergie fossile, dont le prix ne fait qu'augmenter.
Bien entendu, l'installation d'un climatiseur solaire a un coût élevé au départ. Mais ensuite, ce système génère des économies non négligeables.
Par ailleurs, des aides financières sont mises en place pour l'installation de climatiseur solaire. Les efforts faits par les ménages afin de réduire la consommation d’énergie sont encouragés par l’État et par plusieurs autres organismes (ADEME, ANAH...).
Le ménage qui installe un système de climatisation solaire peut en effet bénéficier d'un crédit d'impôt et d'aides régionales.
Pour les budgets plus réduits, le système DEC sera le moins coûteux. En outre, un climatiseur solaire est relativement aisé à installer et demande peu d’entretien.

Le climatiseur solaire peut être aussi réversible donc cette technologie est intéressante à tous points de vue.


Source : http://www.autour-des-energies-renouvelables.fr

L'énergie géothermique : Comment ça marche ?

Le centre de la Terre est d'environ 6000 degrés Celsius - facilement assez chaud pour faire fondre la roche. Même quelques kilomètres vers le bas, la température peut être supérieure à 250 degrés Celsius, lorsque la croûte de la Terre est mince. En général, la température monte d'un degré Celsius pour tous les 30 - 50 mètres, vous allez vers le bas, mais ce ne varie selon l'emplacement
Dans les zones volcaniques, la roche en fusion peut être très proche de la surface.Parfois, nous pouvons utiliser cette chaleur.
L'énergie géothermique est utilisée depuis des milliers d'années dans certains pays pour la cuisson et le chauffage.
Le nom «géothermique» vient de deux mots grecs: «géo» signifie «Terre» et «thermique» signifie «chaleur».
Comment ça marche ?

Géothermique de ventilation.  De www.sxc.huRoches chaudes chauffer de l'eau souterraine pour produire de la vapeur.
Nous creusons des trous vers le bas pour la région chaude, la vapeur monte, est purifié et utilisé pour actionner des turbines qui entraînent des générateurs électriques.
Il peut être naturel "eaux souterraines" dans les roches chaudes de toute façon, ou nous pouvons avoir besoin de percer plusieurs trous et pomper de l'eau à eux.


La première centrale géothermique a été construite à Landrello, en Italie, et le second était à Wairekei en Nouvelle-Zélande.D'autres sont en Islande, le Japon, les Philippines et les États-Unis.
En Islande, la géothermie est utilisée pour chauffer les maisons, ainsi que pour produire de l'électricité.
Si les roches ne sont pas assez chaud pour produire de la vapeur, nous pouvons parfois encore utiliser l'énergie - la Civic Centre à Southampton, en Angleterre, est en partie chauffée de cette manière dans le cadre d'un système de chauffage urbain avec des milliers de clients .